
Nos success stories

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Ils ont commencé ici…
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Depuis sa création en 2006, le festival Génération Court a permis à de nombreux jeunes talents de faire leurs premiers pas dans le monde du cinéma et de l’audiovisuel. Plus qu’un festival, il s’agit d’un véritable tremplin qui offre aux réalisateurs en herbe l’opportunité de se professionnaliser, de rencontrer des experts du secteur et de concrétiser leur passion.
Mais après Génération Court, que deviennent ces jeunes réalisateurs ? Beaucoup ont poursuivi leur carrière dans le cinéma, certains ont intégré des écoles prestigieuses, d’autres ont vu leurs films sélectionnés dans de grands festivals ou ont même signé leurs premiers longs-métrages.
Dans cette section, nous mettons en lumière ces parcours inspirants et les succès de ceux qui ont franchi les portes du festival.

Maximilian Badier-Rosenthal
Maximilian Badier Rosenthal, réalisateur et scénariste franco-vietnamien, fait ses premiers pas derrière la caméra à l'Office Municipale de la Jeunesse d'Aubervilliers. C'est là qu'il rencontre Yassine Qnia, qui produira son premier court-métrage, Ông Ngoai en 2018. Par le biais d’un fauteuil en cuir, ce film explore les différences générationnelles et culturelles qui peuvent exister entre un jeune homme et son grand-père vietnamien.
En 2021, Maximilian réalise son deuxième court-métrage, intitulé Malabar, produit par Don Quichotte Films. L'intrigue se déroule la nuit, lorsque deux jeunes percutent accidentellement un retraité vietnamien avec leur voiture. Ce film, qui a bénéficié du soutien du CNC et de France 2, a remporté plusieurs distinctions dont le Prix de la presse internationale au MyFrenchFilmFestival en 2022, et l'acteur Harrison Mpaya qui a reçu le Prix Adami d'interprétation masculine au Festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand pour son rôle dans ce film.
Maximilian actuellement de nouveaux projets cinématographiques.

Maximilian Badier-Rosenthal
Maximilian Badier Rosenthal, réalisateur et scénariste franco-vietnamien, fait ses premiers pas derrière la caméra à l'Office Municipale de la Jeunesse d'Aubervilliers. C'est là qu'il rencontre Yassine Qnia, qui produira son premier court-métrage, Ông Ngoai en 2018. Par le biais d’un fauteuil en cuir, ce film explore les différences générationnelles et culturelles qui peuvent exister entre un jeune homme et son grand-père vietnamien.
En 2021, Maximilian réalise son deuxième court-métrage, intitulé Malabar, produit par Don Quichotte Films. L'intrigue se déroule la nuit, lorsque deux jeunes percutent accidentellement un retraité vietnamien avec leur voiture. Ce film, qui a bénéficié du soutien du CNC et de France 2, a remporté plusieurs distinctions dont le Prix de la presse internationale au MyFrenchFilmFestival en 2022, et l'acteur Harrison Mpaya qui a reçu le Prix Adami d'interprétation masculine au Festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand pour son rôle dans ce film.
Maximilian actuellement de nouveaux projets cinématographiques.

Maximilian Badier-Rosenthal
Maximilian Badier Rosenthal, réalisateur et scénariste franco-vietnamien, fait ses premiers pas derrière la caméra à l'Office Municipale de la Jeunesse d'Aubervilliers. C'est là qu'il rencontre Yassine Qnia, qui produira son premier court-métrage, Ông Ngoai en 2018. Par le biais d’un fauteuil en cuir, ce film explore les différences générationnelles et culturelles qui peuvent exister entre un jeune homme et son grand-père vietnamien.
En 2021, Maximilian réalise son deuxième court-métrage, intitulé Malabar, produit par Don Quichotte Films. L'intrigue se déroule la nuit, lorsque deux jeunes percutent accidentellement un retraité vietnamien avec leur voiture. Ce film, qui a bénéficié du soutien du CNC et de France 2, a remporté plusieurs distinctions dont le Prix de la presse internationale au MyFrenchFilmFestival en 2022, et l'acteur Harrison Mpaya qui a reçu le Prix Adami d'interprétation masculine au Festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand pour son rôle dans ce film.
Maximilian actuellement de nouveaux projets cinématographiques.

Demba Konaté
Autodidacte, Demba Konaté s'est initié au cinéma grâce au dispositif Génération Court à Aubervilliers et ensuite à la Résidence "L’Atelier - Cinéastes en résidence" du festival Côté Court de Pantin avec Cinémas 93. Il développe son premier projet "Nous les Griots" accompagné par Nouvelle Toile Productions.
Diplômé de Science politique, il est travailleur social, ce qui lui inspire son prochain court métrage sur la réinsertion d'une femme après avoir été incarcérée.

Demba Konaté
Autodidacte, Demba Konaté s'est initié au cinéma grâce au dispositif Génération Court à Aubervilliers et ensuite à la Résidence "L’Atelier - Cinéastes en résidence" du festival Côté Court de Pantin avec Cinémas 93. Il développe son premier projet "Nous les Griots" accompagné par Nouvelle Toile Productions.
Diplômé de Science politique, il est travailleur social, ce qui lui inspire son prochain court métrage sur la réinsertion d'une femme après avoir été incarcérée.

Demba Konaté
Autodidacte, Demba Konaté s'est initié au cinéma grâce au dispositif Génération Court à Aubervilliers et ensuite à la Résidence "L’Atelier - Cinéastes en résidence" du festival Côté Court de Pantin avec Cinémas 93. Il développe son premier projet "Nous les Griots" accompagné par Nouvelle Toile Productions.
Diplômé de Science politique, il est travailleur social, ce qui lui inspire son prochain court métrage sur la réinsertion d'une femme après avoir été incarcérée.

Maïmouna Doucouré
Maïmouna Doucouré débute dans le cinéma avec son premier court métrage auto-produit, Cache-cache, réalisé dans le cadre d'un concours de scénario et reçoit la Mention spéciale du jury du festival Génération Court.
Elle écrit ensuite Maman(s), court-métrage sélectionné dans près de 200 festivals dans le monde et qui remporte plus de 60 prix, dont le Prix du Jury à Sundance, le Prix du meilleur court-métrage à Toronto et le César 2017 du meilleur court-métrage.
En 2019, elle reçoit le Gold Fellowship for Women décerné par l’Académie des Oscars, qui récompense de jeunes artistes émergentes. Sorti en 2020, Mignonnes, son premier long, aborde l’hypersexualisation des pré-adolescentes. Il a obtenu le Prix de la meilleure réalisation à Sundance et une Mention spéciale du Jury international Generation Kplus à Berlin.

Maïmouna Doucouré
Maïmouna Doucouré débute dans le cinéma avec son premier court métrage auto-produit, Cache-cache, réalisé dans le cadre d'un concours de scénario et reçoit la Mention spéciale du jury du festival Génération Court.
Elle écrit ensuite Maman(s), court-métrage sélectionné dans près de 200 festivals dans le monde et qui remporte plus de 60 prix, dont le Prix du Jury à Sundance, le Prix du meilleur court-métrage à Toronto et le César 2017 du meilleur court-métrage.
En 2019, elle reçoit le Gold Fellowship for Women décerné par l’Académie des Oscars, qui récompense de jeunes artistes émergentes. Sorti en 2020, Mignonnes, son premier long, aborde l’hypersexualisation des pré-adolescentes. Il a obtenu le Prix de la meilleure réalisation à Sundance et une Mention spéciale du Jury international Generation Kplus à Berlin.

Maïmouna Doucouré
Maïmouna Doucouré débute dans le cinéma avec son premier court métrage auto-produit, Cache-cache, réalisé dans le cadre d'un concours de scénario et reçoit la Mention spéciale du jury du festival Génération Court.
Elle écrit ensuite Maman(s), court-métrage sélectionné dans près de 200 festivals dans le monde et qui remporte plus de 60 prix, dont le Prix du Jury à Sundance, le Prix du meilleur court-métrage à Toronto et le César 2017 du meilleur court-métrage.
En 2019, elle reçoit le Gold Fellowship for Women décerné par l’Académie des Oscars, qui récompense de jeunes artistes émergentes. Sorti en 2020, Mignonnes, son premier long, aborde l’hypersexualisation des pré-adolescentes. Il a obtenu le Prix de la meilleure réalisation à Sundance et une Mention spéciale du Jury international Generation Kplus à Berlin.

Yassine Qnia
Yassine Qnia a grandi à Aubervilliers en Seine-Saint-Denis. Géomètre-topographe de formation, il découvre le cinéma avec l'OMJA via le dispositif Génération Court où il réalise un premier court-métrage.
Il réalise ensuite trois courts-métrages - FAIS CROQUER, MOLII (co-réalisé avec Mourad Boudaoud, Hakim Zouhani et Carine May) et F430 - qui remportent plusieurs prix du public et sont sélectionnés dans de nombreux festivals en France (Angers, Pantin, La Rochelle, Clermont-Ferrand…) et à l’étranger (Milan, Kiev, Istanbul, Indielisboa…).
En parallèle de sa pratique cinématographique, il continue à travailler sur les chantiers et intervient régulièrement dans des ateliers d’éducation à l’image auprès de classes de collèges et lycées. En 2017, il s’essaye à la production au sein de la société Nouvelle Toile et produit le premier film de Maximilian Badier Rosenthal, ÔNG NGOAI. Lauréat 2019 de la Fondation Gan pour le Cinéma, Yassine Qnia réalise en 2020 son premier long-métrage, DE BAS ÉTAGE.

Yassine Qnia
Yassine Qnia a grandi à Aubervilliers en Seine-Saint-Denis. Géomètre-topographe de formation, il découvre le cinéma avec l'OMJA via le dispositif Génération Court où il réalise un premier court-métrage.
Il réalise ensuite trois courts-métrages - FAIS CROQUER, MOLII (co-réalisé avec Mourad Boudaoud, Hakim Zouhani et Carine May) et F430 - qui remportent plusieurs prix du public et sont sélectionnés dans de nombreux festivals en France (Angers, Pantin, La Rochelle, Clermont-Ferrand…) et à l’étranger (Milan, Kiev, Istanbul, Indielisboa…).
En parallèle de sa pratique cinématographique, il continue à travailler sur les chantiers et intervient régulièrement dans des ateliers d’éducation à l’image auprès de classes de collèges et lycées. En 2017, il s’essaye à la production au sein de la société Nouvelle Toile et produit le premier film de Maximilian Badier Rosenthal, ÔNG NGOAI. Lauréat 2019 de la Fondation Gan pour le Cinéma, Yassine Qnia réalise en 2020 son premier long-métrage, DE BAS ÉTAGE.

Yassine Qnia
Yassine Qnia a grandi à Aubervilliers en Seine-Saint-Denis. Géomètre-topographe de formation, il découvre le cinéma avec l'OMJA via le dispositif Génération Court où il réalise un premier court-métrage.
Il réalise ensuite trois courts-métrages - FAIS CROQUER, MOLII (co-réalisé avec Mourad Boudaoud, Hakim Zouhani et Carine May) et F430 - qui remportent plusieurs prix du public et sont sélectionnés dans de nombreux festivals en France (Angers, Pantin, La Rochelle, Clermont-Ferrand…) et à l’étranger (Milan, Kiev, Istanbul, Indielisboa…).
En parallèle de sa pratique cinématographique, il continue à travailler sur les chantiers et intervient régulièrement dans des ateliers d’éducation à l’image auprès de classes de collèges et lycées. En 2017, il s’essaye à la production au sein de la société Nouvelle Toile et produit le premier film de Maximilian Badier Rosenthal, ÔNG NGOAI. Lauréat 2019 de la Fondation Gan pour le Cinéma, Yassine Qnia réalise en 2020 son premier long-métrage, DE BAS ÉTAGE.
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